Sommaire
Union et intersection de sous-espaces vectoriels
Sous-espaces vectoriels ou non ?
Montrer que deux espaces vectoriels sont égaux
Montrer qu’une famille est libre
Noyau et image d’un endomorphisme
Noyau, image et matrice dans la base canonique
Démonstration de la formule de Grassmann
Application de la formule de Grassmann
Fonctions paires et impaires en somme directe
Matrices symétriques et antisymétriques en somme directe
Endomorphisme nilpotent – exercice classique
Propriété des endomorphismes orthogonaux
Théorème de Lagrange : démonstration
Soit E un espace vectoriel, et F et G deux sous-espaces vectoriels (SEV) de E.
Montrer que F ∩ G est un SEV de E.
Montrer que F ∪ G est un SEV de E ⇔ F ⊂ G ou G ⊂ F
Les ensembles suivants sont-ils des sous-espaces vectoriels ?
On considère les vecteurs suivants :
Soient F et G définis par F = Vect(u1, u2, u3) et G = Vect(e1, e2)
Montrer que F = G (on pourra répondre à la question de 2 manières différentes).
Montrer que la famille suivante est libre : ((1;3;2) ;(2;1;4) ; (1;1;3))
Trouver le noyau et l’image des endomorphismes suivants.
Sont-ils injectifs ? Surjectifs ? Bijectifs ?
Soit u tel que :
1) Montrer que u est un endomorphisme.
2) Déterminer le noyau, l’image et la matrice de u dans le base canonique.
On considère deux espaces vectoriels F et G.
Nous allons démontrer la formule de Grassmann, qui est :
Soit f et g appartenant à L(E).
On suppose que E = Ker(f) + Ker(g) et E = Im(f) + Im(g)
Montrer que ces sommes sont directes.
Cet exercice est très classique !
On considère E l’ensemble des fonctions de R dans R.
Soit F l’ensemble des fonctions paires et G l’ensemble des fonctions impaires.
Montrer que E = F ⊕ G
Montrer que l’ensemble des matrices symétriques et l’ensemble des matrices antisymétriques sont en somme directe, c’est-à-dire montrer que Sn ⊕ An = Mn(R).
Décomposer ensuite la matrice suivante selon cette somme directe :
Soit u un endomorphisme de R3 tel que : u3 = OE et u2 ≠ OE
Partie 1 :
a) Montrer que ∀ x ∉ Ker(u2), (x ; u(x) ; u2(x)) est libre.
b) Soit (e1 ; e2 ; e3) la base canonique de R3.
Montrer qu’ils ne peuvent pas tous être dans Ker(u2).
c) On suppose que e1 ∉ Ker(u2).
On pose : e’1 = e1, e’2 = u(e1), e’3 = u2(e1)
Montrer que (e’1 ; e’2 ; e’3) est une base de R3.
d) Donner la matrice de u dans cette base.
(la deuxième partie est en-dessous des vidéos ci-dessous concernant la Partie 1)
Partie 2 :
Soit A la matrice :
1) Montrer que A est nilpotente. En déduire (I – A)-1
2) Montrer que (u2(e3), u(e3), e3) est une base de E.
3) Donner P. Calculer P2 et en déduire P-1.
4) En déduire A’ dans cette nouvelle base de deux manières différentes.
Soit F un SEV de E, et f ∈ O(E) (f est donc un endomorphisme orthogonal de E).
Montrer que f(F⊥) = (f(F))⊥
Nous allons démontrer le théorème de Lagrange :
Si G est un groupe fini, et H un sous-groupe de G, alors card(H) divise card(G).
Pour cela nous allons utiliser la relation d’équivalence suivante : xRy ⇔ x-1y ∈ H
Retour au sommaire des coursRemonter en haut de la page